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25 octobre 2020 7 25 /10 /octobre /2020 17:00

En France maintenant, et avec des mitraillettes pour éradiquer de dangereux terroristes buveurs invétérés de petits crème ou de bière ! Un rêve, non un cauchemar ! https://www.facebook.com/quartierlibre.tv/videos/333456464620110

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21 octobre 2020 3 21 /10 /octobre /2020 20:04

Si bien évidemment nous condamnons sans appel le meurtre barbare de Samuel Paty ne serait-il pas venu le temps de s’interroger sur le bien-fondé de continuer à présenter ces caricatures, même au nom de la Liberté d’expression !

Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets.

Première publication en 2005 et remous diplomatiques plus ou moins sévères, attentat contre les journalistes de Charlie Hebdo 10 ans plus tard, septembre 2020 attaque à l’arme blanche des anciens locaux du journal, octobre 2020 assassinat sauvage d’un enseignant !

Iriez vous aiguillonner une ourse et ses petits même si votre présence en pleine nature est aussi légitime que la sienne ?

Braveriez vous inconsidérément un molosse, un fauve dont la dangerosité n’est plus à prouver ?

Que risque t’il de se passer si des professeurs, comme ils l’affirment aujourd’hui, réutilisent ces caricatures ? Qu’en sera t’il de la sécurité de la population scolaire s’ils passent à l’action ?

Ce n’est pas être lâche que de tourner le dos à ceux qui véhiculent la haine au nom de Dieu !

C’est donner à la Vie le temps de s’exprimer, de panser des blessures et de chercher sans démagogie à éradiquer ceux qui cherchent par la sauvagerie à détruire les valeurs ancestrales des sociétés démocratiques.

L’écritoile

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21 octobre 2020 3 21 /10 /octobre /2020 20:01

Nous sommes parties quelques jours randonner dans le Lot et ses environs autant dire que nous avons emprunté des chemins caillouteux. Le Causse du Quercy est généreux en ce domaine, sans bâtons de rando, je n’aime pas, et sans dommage, nous nous sommes donc livrées à notre grand plaisir.

Revenant le premier soir d’une opération cueillette fort fructueuse par un chemin d’une platitude quasi parfaite, le seul et unique trou a été pour moi.

Je n’ai rien vu venir et je me suis gamelée sur le chemin.

Banal ?!

Et bien non !

Pendant un temps, sans doute bref mais qui m’a paru long, une partie de moi était certes à terre mais une autre toujours debout regardait interloquée cette forme vêtue de rouge affalée à plat ventre.

Lorsque j’ai réussi à « recoller » à ma présence j’étais certes sonnée mais les réactions se sont succédées, vite. Il y avait une urgence, je devais laisser l’onde de guérison envahir ma cheville, que je me suis souvenue avoir entendu craquer, en l’enveloppant de mes mains le temps de les sentir agir. J’ai ensuite accepté la proposition de Frédérique d’activer les rayons pour un soin énergétique.

Ce n’est que quelques heures plus tard que j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose de bizarre et j’aurais pu croire avoir rêvé si Frédérique, qui quelques pas derrière moi avait assisté à la scène, ne m’avait pas fait part de son étonnement. S’inquiétant de savoir si tout allait bien (enfin pas trop mal) le silence et l’immobilité que j’ai gardé bizarrement pendant un certain temps l’a perturbée. Je l’ai entendu, mais dans un certain lointain, trop occupée à observer un corps physique que je peinais à reconnaître.

Je suis repartie après un certain temps lentement mais sûrement et les jours suivants j’ai pu randonner normalement. Je m’en suis sortie avec une cheville gonflée et disgracieuse, des courbatures de fou dans les abdos, les épaules, les bras. Il faut dire que je n’ai rien eu le temps d’amortir !

En fait je pense pouvoir mettre des mots sur cette expérience inédite en ce qui me concerne et qui en fait s’apparente à une décorporation brève.

Projection astrale ?

Dissociation partielle des corps physique et éthérique ?

A creuser même si les possibilités ne sont pas légions.

Mais quand même cela fait drôle !

Bizarre.

Dominique

 

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14 octobre 2020 3 14 /10 /octobre /2020 20:45

Commençons par une petite « entrée en matière » avec quelques considérations sur le cerveau. Composé de 3 modules travaillant de concert nous lui devons mouvements, pensées, sentiments, sensations, souvenirs ...

Notre cerveau est constitué de neurones, cellules sociales et « bavardes », nos états émotionnels sont donc des poussées de bavardage neuronal et nos traits émotionnels le fruit de relations suivies entre nos neurones.

3 couches de neurones distinctes composent notre cerveau et se sont mises en place au cours de l'évolution de l'homme.

Le cerveau reptilien est la zone la plus ancienne. Il régule les fonctions vitales de base mais aussi les réactions instinctives, combattre, fuir, sursauter … réagir à une menace potentielle.

Le cerveau limbique, né d'une modification du cerveau avec l'apparition des mammifères, entoure le cerveau reptilien. Ses connexions neuronales permettent le traitement des émotions, la capacité à décrypter les intentions des tiers et la faculté de s'adapter aux changements … Seulement, voilà, des évènements répétitifs peuvent induire (entre autre) des schémas réactifs puissants qui impactent notre comportement allant parfois jusqu'à déformer notre perception ordinaire et donc provoquer des réactions inappropriées : peurs excessives, comportements inadéquats, phobies etc.

Enfin, le néocortex permettant de raisonner, planifier, affiner les réactions émotionnelles nous donne accès au langage, à l'écriture, à toutes les activités rationnelles d’analyse, jugement, contrôle de l'organisation … Penser implique donc fréquemment (mais pas toujours) plusieurs zones du cerveau.

L’état des lieux étant clairement posé, entrons dans le vif du sujet !

Partout en France les restrictions vont bon train, Paris serait en état d’alerte maximum, Lyon, Nice, Bordeaux en alerte renforcée … les bars, les restaurants, les gymnases … ouvrent ou ferment selon des critères abscons ... rouge vif, écarlate, rose claire, tyrien.

Un couvre-feu vient d’être décidé sur les grandes métropoles, coup de grâce pour tout ce qui touche à la Culture, la vie sociale, la restauration, enfin la VIE tout court ! Pour rappel le couvre feu a toujours été décidé pour contrôler les populations (Guerre d’Algérie, Guerre de 39 – 45 …) et d’ailleurs voilà un excellent article tout juste sorti et accessible avec ce lien :

https://www.lepoint.fr/societe/les-mauvais-souvenirs-du-couvre-feu-14-10-2020-2396523_23.php

Le masque est obligatoire dans les lieux clos mais pas que !!! Sur ce point ce qui se passe à Collioure est un bon résumé de la situation. Depuis Août le Covid a tuyauté le nouveau préfet sur ses allers et venues, j’ai regardé les horaires de train en gare de Collioure, c’est cohérent, il est en ville de 9 heures à 18 heures. En dehors de ce créneau le masque n’est plus obligatoire !

Vu l’absence de réaction tangible au sein de la population nous pouvons donc en conclure que notre cerveau reptilien fonctionne correctement face à la menace potentielle que représente le virus, menace brandie par les médias, les hommes politiques ! Il a la trouille !

Cela commence à battre vaguement de l’aile au niveau du cerveau limbique quant à sa capacité à décrypter les intentions des tiers et cela se dégrade carrément au niveau du Néocortex. En ce qui concerne l’analyse, le raisonnement, le jugement cela semble cuit !

Parce que franchement, rester sans réagir aux propos du gouvernement qui par la bouche de son secrétaire d’état Jean-Baptiste Lemoyne estime que réserver et s’organiser pour les vacances est un acte citoyen, c’est à désespérer !

Pas de congés pour les soignants, un état sanitaire soit-disant critique et donc les métropoles bouclées et il faudrait partir en vacances ?!

Et avec quel argent ? Car messieurs les politiques où pensez-vous que l’immense majorité de la population en trouve ? Mais peut-être est-ce pour aérer le Covid (ou la Covid) comme cet été où vous nous nous avez déjà fait le coup. En Occitanie nous n’avions pas de problème sanitaire, les estivants partis nous étions passés au rouge et maintenant que nous avons de nouveau rosi, nous repiquerions au truc ?

Pour moi une conclusion s’impose : écoutons moins notre cerveau reptilien qui nous signale des menaces potentielles qui pèseraient sur nous, faisons barrage à notre cerveau limbique dans sa gestion des peurs irrationnelles et réveillons notre néocortex. Raisonnons, affinons nos réactions émotionnelles, analysons et posons des jugements. Cela devrait aller mieux !

Dominique

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10 octobre 2020 6 10 /10 /octobre /2020 16:10

Juste pour réfléchir et mesurer l'impact de ce que l'on cherche à nous imposer en tentant de mettre les musiciens sous contrôle. Je fais référence aux dispositions qui commencent à être prises dans certaines villes !

Ce qui suit n'est pas de notre cru mais de Platon !

et plus lisible mais moins artistique :

La musique est une loi morale

Elle donne une âme à nos cœurs

des ailes à la pensée, un essor à

l'imagination.

Elle est un charme à la tristesse,

à la gaité, à la vie, à toute chose.

Elle est l'essence du temps

et s'élève à tout ce qui est

de forme invisible

mais cependant éblouissante et

passionnément éternelle.

Platon

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7 octobre 2020 3 07 /10 /octobre /2020 08:39
Partageons, au moins !
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6 octobre 2020 2 06 /10 /octobre /2020 19:24

Pour notre quatrième jour nous avons réussi le tour de force de nous retrouver à cheval sur 3 départements. Le Pays de Sault se situe et jouxte à la fois l’Ariège, l’Aude et les Pyrénées Orientales et c’est notre « jardin des délices ». Rien d’ostentatoire, la simplicité est de mise parmi les habitants mais les villages ont un charme certain, ce charme que l’on retrouve là où les priorités vont à l’échange, au partage. Nous y allons fréquemment et cet air de liberté que l’on y respire est des plus ressourçant. Nous nous y sommes gavées de fraises et de framboises, de petites cerises acides dans des vergers abandonnés.

Les randos foisonnent et j’ai gardé en mémoire, au départ de Comus celle faite dans les gorges de la Frau qu’emprunte le chemin des « bonshommes », terme désignant les cathares, et venant de Montségur car le catharisme a marqué le pays de Sault et notamment le village de Montaillou. Qualifié de repère de pestiférés comme l’atteste le registre de l’Inquisition de l’évêque de Pamiers, Jacques Fournier, entre les années 1317 et 1324, ce village servit de prétexte à un ouvrage érudit de Emmanuel Le Roy Ladurie qui fut un véritable best-seller dans les années 1970 1980 (Montaillou, village occitan de 1294 à 1324). Il est aussi le cadre dans lequel Frédo a situé l’intrigue de l’un de ses romans « Le trait d’Union », il n’a pas encore été traduit dans toutes les langues mais cela viendra, c’est un vrai régal ! N’hésitez pas à nous le commander !

Cette fois nous n’y allions pas y marcher, notre baromètre intérieur était sans appel, le ciel n’annonçait rien de bon, nous avions juste devant nous quelques petites heures à mettre à profit pour effectuer un repérage des lieux. Nous avons fait halte à Espezel, cherché la coopérative agricole où l’on trouve de délicieuses pommes de terre, bio (mais en fait là-bas tout est naturel) à 1€ le kilo, qui dit mieux ?! Nous avons trouvé l’aire de stationnement de camping-cars, en plein village, bien protégée elle n’attend plus que notre prochaine venue, et le nez au vent nous sommes parties à la recherche de la minoterie, celle qui ravitaille toutes les bio-coops des environs. Il nous a fallu quand même mobiliser quelques espézelois pour y parvenir dont un charmant livreur qui s’est détourné de sa route pour nous aider à trouver le minotier occupé à rentrer ses foins en catastrophe ! Nous ne nous étions donc pas trompées, le temps virait à l’aigre, pas de chance pour lui, il n’a sans doute pas pu ramasser ses 2000 oignons avant les avalasses !

Au retour sous 4 gouttes de pluie, les premières avant les cataractes, nous avons craqué pour le lavoir, aménagé de manière cosy, les peintures murales lui confèrent un charme fou sans parler des bouquins à disposition et de la petite table qui permet de se poser le temps de rêver.

On sait vivre ici.

A noter que tous les villages de cette région sont dotés de fontaines qui toutes rivalisent de beauté !

En ce qui nous concerne, si nous sommes passées avant la tempête, le lendemain, nous y avons eu droit. Ce ne fut pas Alex mais quand même, notre chemin royal a perdu dans la batailles quelques arbres !

Nous attendons donc une embellie pour y retourner et ravitailler nos voisins en patates et se faire une ou deux randos, peut-être le Pas de l’Ours ou le plat du Boum, rien que le nom est rigolo !

Elle n’est pas belle la vie ?!

Do

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5 octobre 2020 1 05 /10 /octobre /2020 20:19

Après un bref passage à Oust, j’adore les noms de villes et villages en Ariège … Seix, Oust, Soueix, Vic, Erp, Sor … au moins c’est pas long à écrire, nous avons gagné Aulus les Bains qui, comme les trois quart des villes d’eau, enfin c’est mon ressenti, est tristounette. Si les romains ont été les premiers à découvrir les vertus des eaux d’Aulus il a quand même fallu attendre 1822 pour que la première baraque thermale voit le jour. Il faut laisser le temps au temps !

55 ans plus tard la ville se dotait d’un casino, le must avec le parc et la grotte créée pour abriter les 4 sources thermales.

Aujourd’hui la vie n’est pas vraiment trépidante à Aulus qui mis à part les Thermes, l’accrobranche et quelques cafés à la périphérie offre un centre village assez désert ! De toute façon la ville n’a pas connu que des jours heureux, pendant la dernière guerre le gouvernement de Vichy y assigna à résidence des juifs qu’ils fit ensuite arrêter le 26 août 1942 ! Pas la peine de s’attarder sur le sujet !

Le point fort d’Aulus est sa situation, idéale pour compléter le traitement médical dispensé dans l’établissement. Un réseau de randonnées sillonnent la région dont le fameux GR10, celui qui traversant tous les Pyrénées passe pile poil à quelques encablures de chez nous, là-haut à la crête des Albères. Aux Thermes les toubibs ont pensé à tout, au départ des randos, un superbe panneau les recense toutes et indique pour chacune d’elles les calories perdues, entre autre !

Je ne me souviens plus de ce que nous étions sensées avoir éliminé en atteignant la cascade d’Ars mais une chose est sure ça se mérite.

Nous y étions déjà allées et j’avais oublié qu’après le pont d’Artigous cela grimpait dur, enfin ce n’est pas tant le dénivelé mais les blocs de toute taille qui jonchent le sol. Un peu comme un escalier super escarpé doté de marches de toutes les hauteurs !

L’eau fait une chute de 240 m en trois cascades successives !

C’est grandiose, décoiffant et comme lieu de pique-nique, le rêve absolu !

Une chose est sûre, nous sommes redescendues plus gaillardement jubilant en constatant l’air harassé de certains randonneurs qui tous posaient la même question : « c’est encore loin ? ». Nous avons d’ailleurs complètement démoralisés les derniers, il faut dire qu’ils étaient à peine partis ! A peine arrivées au fourgon, ils nous rejoignaient !

Nous avons fini la journée en beauté au village Le Trein d’Ustou.

Camping hyper chouette, la boîte à lettres donne le ton « La boîte à bonheur » ! De taille humaine il sera sans doute au menu d’une de nos prochaines balades en Ariège sans compter que les randos abondent ! Nous vérifierons juste si l'Alet qui dévale du cirque de montagnes n'est pas trop proche, nous y faisons toujours attention mais après ce qui vient de se passer dans les Alpes Maritimes, nous serons encore plus vigilantes ! Do

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3 octobre 2020 6 03 /10 /octobre /2020 18:59

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3 octobre 2020 6 03 /10 /octobre /2020 18:43

Bol d’Air

Ça y est, c’est reparti, nous n’osions plus y croire et pourtant nous avons réussi à refaire une superbe virée que quelques jours avec le fourgon. Après avoir déploré des séjours quelque peu avortés nous redoutions un nouveau déboire, nous voici donc toutes ragaillardies et prêtes à repartir !

L’Ariège est une valeur sûre, un petit paradis aux allures d’autrefois. Pas de grandes surfaces (évidemment cela ne facilite pas forcément la vie de tous les jours), des petits commerces actifs et inventifs comme l’épicerie de Seix.

Petit coin bistrot, un peu de tout, de tout un peu, du local, de saison, du bio et une commerçante sympa avec qui nous avons pris plaisir à échanger. Dommage que comme bien souvent dès que quelqu’un a une idée, d’autres copient bêtement ne voyant que l’éventuelle manne à ramasser sans se douter que, ce faisant, il va porter tort à l’autre et végéter de son côté.

Nous étions venues pour randonner et nous nous en sommes données à coeur joie. Rien que sur le triangle Seix, Soueix, Oust nous avons réussi à nous enfiler 7 heures de marche en regroupant 2 randos.

Nous avons découvert une flore très dépaysante et si ce n’est la température pas vraiment raccord nous aurions pu nous croire en Louisiane tant les mousses pendouillaient de partout !

Mais le point fort de cette journée aura été les retrouvailles avec notre ange !

Nous étions déjà passées par là en 2012 et nous avions découvert avec bonheur l’église Saint Sernin de Soueix. Datant du XIIe siècle la chapelle est aujourd’hui désaffectée mais renferme en ses murs un véritable trésor, un pavage de galets qui « invite à des voyages initiatiques au coeur de l’alchimie » pour reprendre les termes de Jean-Pierre Angot, architecte des bâtiments de France ayant conduit une campagne de recherches et de préservation du site. Nous étions passées juste au moment où les travaux terminés des visites guidées étaient proposées. Un hic toutefois les dates ne pouvaient nous permettre d’y participer. Restait à disposition un affichage sommaire qui nous avait alléchées ! Aujourd’hui plus rien ne rappelle au visiteur que Saint-Sernin fut très certainement à une époque reculée un centre ésotérique tenant une place importante.

J’aurais pu croire avoir rêvé si, non loin de l’église, un affichage rappelle que le Salat fut un lieu propice à l’orpaillage et si nous avions ignoré la présence de mines de plomb sur la région d’Aulus toute proche.

De toute façon l’Ariège connue comme une région aurifère connut entre les XIXe et XXe siècle sa ruée vers l’or.

Une chose est sûre, les mécènes espérés n’ont pas dû affluer car en regardant par le trou de la serrure j’ai pu constater que le pavement du sol en petits galets n’était en aucune manière protégé, sans doute est-ce ce qui justifie la fermeture des lieux.

Dommage mais nous avons quand même retrouvé celui qui nous avait séduites en 2012, l’Ange « jardinier » !

Au pied d’une croix de mission je crois, dans l’herbe, le bel ange nous attendait et pendant un bref instant j’ai revisité le passé, quand nous étions encore accompagnées !

Cet ange nous a séduites, c’est lui qui trône sur la couverture de l’un des romans de Frédérique « État d’âmes » !

Quant à notre seconde partie de rando, en pleine nature et en altitude, nous sommes

tombées sur une très grosse déjection dont la composition, le calibre ne laissait aucun doute, un ours avait transité par là ! Ce n’est pas un scoop, chacun sait que le plantigrade vit dans le coin et en ce qui nous concerne c’est la seconde fois que nous tombons sur une telle crotte. Nous avons même pu photographier par ailleurs une superbe empreinte dans la neige gelée. Mais là, nous ne vous dirons pas où.

Chut ! Il faut bien que tout le monde vive !

Do

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  • : Nous sommes deux soeurs... L'une peint, l'autre écrit. Nous avons envie de partager nos vécus, nos ressentis, nos expériences; de témoigner... Nous aimons par dessus tout la nature, notre plus grande source d'énergie... Sur ce blog, nous vous présenterons des peintures, des livres, mais aussi des photos de nos voyages, de nos randonnées, des récits... Nous tenterons enfin de vous entraîner dans la grande aventure de notre vie: notre cheminement spirituel vers l'Amour et la Lumière.
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