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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 19:50
Libérer
Le 18 novembre 2012 restera un jour exceptionnel. Cela a commencé par un épisode de channeling particulièrement violent. Jeannine ne cessait de bramer « j’ai peur », elle psalmodiait aussi « je veux partir » mais alors ce n’était plus sa voix. Complètement dépassées, nous avons réussi à lui faire dire qu’elle craignait quelqu’un « que nous connaissions ». Nous n’étions pas loin de la crise de nerf. Devant l’impossibilité d’en savoir plus et de lui faire préciser où elle souhaitait se rendre, elle était inaccessible comme murée dans un monde où nous n’avions pas notre place, nous sommes parties. Elle nous avait juste livré comme indice qu’elle ne voulait pas aller en bas !
Arrivées à la bergerie, nous nous sommes offert une pause et après avoir médité un bon moment, je me suis emparée du pendule.
arc-en-ciel.jpg
Priorité, chercher ce qui dans le comportement de Jeannine lui était imputable. Je me sentais totalement « connectée », les questions que je posais me semblaient « inspirées ». Le chakra couronne chauffait très fort et je ressentais un courant voluptueux me parcourant de la tête aux pieds, ces derniers bien ancrés dans le sol. J’avais comme souvent lorsque je médite ou canalise les rayons, l’impression d’être « épanouie » !
J’ai rapidement isolée une présence désincarnée dont Jeannine subissait l’influence et qui l’inquiétait. Frédo m’assistait et retranscrivait. Cela ne nous a guère surprises, il y a si longtemps que en ressentions la présence et que d’autres que nous avaient tenté de la libérer, en vain.
Poursuivant mes recherches, j’ai découvert que ce n’était pas Jeannine qui voulait partir bien et qu’elle ne craignait nullement de nous laisser !
Cette nouvelle nous a au moins soulagées, nous ne la retenions pas !
Nous étions en présence d’une âme s’exprimant par sa bouche, errant dans le bas astral et appartenant à notre cercle familiale : une de nos tantes. l-arbre.jpg
A ce stade du récit, il faut savoir que lorsque nous avions travaillé sur notre généalogie avec une personne pratiquant la psycho généalogie, nous avions découvert, grâce à une lecture croisée de tous les documents que nous avions remplis et transmis, que des violences avaient été perpétrées sur certains membres d’une des branches de notre famille maternelle.
Quelques mois plus tard, une femme thérapeute énergétique, que nous avions consultée pour tout autre chose, nous avait annoncé tout à trac, qu’il y avait avec nous une présence, douloureuse. Elle nous avait alors brossé un portrait sans équivoque, nous parlant de la souffrance de cette femme qui petite fille avait été violée !
Sur le coup, nous étions restées sans voix. Si les précisions données sur cette personne qu’elle ne connaissait pas, nous ne lui en avions jamais parlé, ne prêtaient pas à confusion, cette histoire de viol nous étonnait.
Sur le chemin du retour nous nous étions murées chacune dans nos souvenirs puis petit à petit certaines anecdotes entendues dans notre jeunesse avaient refait surface pouvant peut-être être interprétées différemment. Nous livrant à une relecture des faits, le viol devenait en effet plausible même si cela était dérangeant d’avoir à déplorer dans notre famille de tels faits. 
Ce 18 novembre, menant l’interrogation je me retrouvais donc avec une présence désincarnée souhaitant partir tout en en ayant peur !
Pas facile ! Comment s’atteler au problème !
La séance ressemble à un scénario de film et ce n’est pas pour le plaisir de se raconter que je la résume ici, mais pour rendre justice et apaiser les âmes.
Notre tante voulait partir mais avait peur de retrouver certaines personnes de sa famille dont son « tortionnaire ». Au fur et à mesure de l’interrogation tout est devenu lumineux et nous avons découvert, nous remémorant des propos que nous tenait notre mère, que bien que ne sachant pas ce qui était arrivé, elle l’avait pressenti. La honte, la culpabilité, le silence les avaient anéantis, certains avaient rebondi, se reconstruisant comme ils pouvaient. Cela avait été le cas de notre tante mais la douleur, la rancœur l’avait empêché de s’élever au moment du grand saut. Elle avait aujourd’hui besoin d’être reconnue victime, ce qui lui avait été refusée petite, elle avait dénoncé les faits,  pour pouvoir être enfin en paix.
Spontanément, c’est à deux voix que nous lui avons parlé, lui demandant pardon de n’avoir pas cru ce qui nous avait été révélé par la thérapeute. Aucun calcul dans nos déclarations d’amour. Nous imaginions sa détresse et cela nous émouvait au-delà du possible.
J’ai ensuite allumé une bougie et expliqué à notre tante le rituel de libération, espérant être entendue. Comme à chaque fois que j’officie comme passeur d’âmes, j’ai demandé si elle avait compris ce que j’expliquais et si elle était prête à ascensionner. Le non qui a suivi m’a déstabilisée nécessitant une poursuite de l’interrogation.
Elle avait besoin d’entendre Frédo avant de partir. En fait rien d’étonnant, que je lui téléphone régulièrement pour prendre de ses nouvelles au nom de notre trio ne la satisfaisait déjà pas de son vivant, nous devions nous exécuter chacune à notre tour !
Frédo lui a donc parlée et après que je lui ai annoncé qu’elle était attendue impatiemment dans la lumière par ceux qui l’avaient aimé, elle est partie pour de bon.
retrouvailles
 
De ce départ nous sommes certaines, le comportement de notre mère, ses propos ont été sans équivoque.
Evidemment toutes les séances ne sont pas aussi « particulières » ni éprouvantes  même si certaines sont difficiles. C’est notamment le cas, lorsque la personne décédée n’avait plus toute sa tête. Généralement elle n’a pas compris ce qui lui arrivait et il est mal aisé de se faire entendre. Fréquentant assidûment une maison de retraire, très présentes dans la vie des résidents, nous avons de temps à autres quelques « squatteurs » que nous aidons à partir.
La clé de leur départ a tous, est l’Amour, la compassion et même si je n’officie pas depuis bien longtemps j’ai compris une chose très importante : on ne peut pas juger et ce pour plein de raisons. Le coupable est une victime aussi quant à la victime, ce statut lui est nécessaire pour progresser car tout ce que nous vivons nous est profitable, même le plus dur.
J’ai aussi fait des découvertes curieuses, lorsque je cherche qui peut attendre l’âme en quête d’ascension, j’ai souvent les parents, grands-parents, enfants mais quasiment jamais les conjoints. Lorsque ce sont des êtres décédés depuis longtemps, les anges et guides sont absents, sans doute entrain d’aider ailleurs mais dans ces cas là, j’ai toujours des aides précieuses et exceptionnelles : des maîtres ascensionnés dontun qui est déjà revenu plusieurs fois, Paul de Tarse !
Etonnant, non ?
Je vais bien, je vous assure !
Pani pwoblème !
Do
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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 19:38

Communiquer

Pour en venir maintenant à ce qui est peut-être une troisième mission de vie, il me faut reparler de ces esprits qui parfois se manifestent intempestivement dans nos vies. Si vous avez déjà lu mes précédents articles en matière de spiritualité, vous devez sans doute vous rappeler de ces phénomènes bizarres qui maintes fois nous avaient interpelées : odeurs, bruits, voix, visions etc.

Longtemps, nous avons eu besoin de nous faire aider pour avancer dans la résolution de notre problématique et d’intervenants en intervenants, nous avons passer des caps, cernant un peu mieux la situation mais restant quand même la tête dans le mur.

 

Munch_The_Scream_lithography.gifJ’avais toujours le sentiment très frustrant d’être entrain de jouer à cache-tampon, de m’approcher du but, de chauffer de plus en plus mais je tournais en rond faute de précisions.

C’est encore et toujours notre mère qui a été notre sésame.

Depuis des années, il lui arrivait d’être différente, comme habitée par des présences qui bien souvent semblaient nous avoir prises comme tête de turc. Jusqu’à l’été dernier, lorsque nous nous sentions dépassées par les évènements nous avons eu recours à des aides extérieures, qui toutes ont contribué à notre éveil, nous faisant gravir petit à petit un escalier initiatique. Lorsque l’une d’entre elles ne pouvait plus nous aider, nous décrochions toutes seules avançant un temps par nous même jusqu’à un nouvel obstacle sur lequel nous buttions. Et le « hasard » mettait sur notre route celui ou celle qui nous était nécessaire. Il n’y a pas eu au final de charlatan, nous avons juste eu assez de présence d’esprit et de sauvegarde personnelle pour ne pas poursuivre sur des voies qui ne menaient à rien.

Tout a changé l’été dernier.

L’été 2012 Jeannine s’est mise à faire du channeling. Elle était devenue un canal par lequel des entités s’exprimaient. Si majoritairement il s’agissait de personnes défuntes appartenant à notre famille et avec lesquelles des contentieux existaient souvent, quand un résident de la maison de retraite décédait, il squattait Jeannine s’exprimant par sa bouche.

L’été dernier, toujours, je suis entrée dans un magasin de minéraux et nous avons fait, Frédo et moi, l’achat d’un pendule en cristal de roche chacune. Depuis je travaille avec un « pharaon » en ébène plombé, ceux qui connaissent se douteront des raisons de ce choix !

  Pendule.JPG

C’est exaltant !

Après avoir appris à programmer le pendule en définissant les types de réponses souhaitées : tourner dans le sens des aiguilles une montre pour dire oui, en sens inverse pour dire non, balancement pendant la recherche … j’ai peaufiné l’interrogation. Comme beaucoup de novices, j’ai tenté des pièges et au bout du compte j’ai progressé considérablement en matière d’exigence langagière. Pour avoir des réponses fiables il faut poser des questions pointues. Le vocabulaire, la syntaxe, la grammaire ont une importance que j’ai découvert petit à petit.

Je me suis retrouvée au début avec de curieux résultats. Frédo aussi. Nous analysions donc chacune nos questions-réponses pour isoler les failles et y remédier. Dans un premier temps, j’interrogeais surtout pour connaître les rayons à utiliser en matière de soin, pour savoir si un aliment était périmé ou non. Puis petit à petit je me suis lancée et certaines expériences ont eu tôt fait de me convaincre que j’avais entre les mains un outil merveilleux. Ainsi, début octobre, des flashs dans l’œil gauche apparaissent. Un peu angoissant même si mon ressenti personnel me souffle que ce n’est rien de grave. Nous sommes samedi soir et je n’ai pas du tout envie de filer aux urgences de la consultation d’ophtalmologie. Je sors le pendule, questionne : pas de décollement de rétine, le corps vitré est bien en cause, il n’y a pas d’urgence à voir un ophtalmo, la rétine est « nickel chrome ». Frédo qui a déjà souffert de la même pathologie relativise aussi. Le lundi, l’ophtalmo confirme.

Idem à propos du drôle de « truc » qui s’est mis à pousser sur la joue de Jeannine. Les infirmières tentent divers traitements locaux et parlent de carcinome (à cet âge, ce serait vraiment foudroyant). Le médecin est perplexe mais demande du temps, par contre il réfute totalement l’idée du carcinome. Quant à moi, je suis zen, le pendule donne toujours les mêmes réponses : pas de traitement local, cela sèchera et tombera. Cela a séché et est tombé même si personne, sauf moi, y croyait.

Qui plus est, c’est rigolo un pendule et pour preuve cette anecdote !

Il y a quelque temps, Frédo questionne pour savoir si son pendule était « chargé », entendez par là un peu trop imprégné de vibrations lourdes à la suite de manipulations (c’est pour cette raison que j’ai choisi un pharaon en ébène plombé). La réponse positive imposait donc un nettoyage que pourtant Frédo a zappé ! Quelques jours plus tard, ayant un point de détail à éclaircir, elle prend son pendule et commence par demander l’autorisation d’interroger. La réponse négative amène une suite : « est-ce parce que je n’ai pas lavé le pendule ? ». Et oui ! Elle s’est exécutée et a pu ensuite procéder à l’interrogation.

Il m’arrive aussi d’être confrontée à des refus ; c’est le cas lorsque cela concerne l’avenir et ou que je n’ai pas à le savoir. D’ailleurs pour ce qui est de l’avenir, nous avons aussi compris que les réponses ne tenaient pas toujours compte du libre arbitre dont chacun de nous dispose. De même lorsque j’interroge à la demande de quelqu’un d’autre, si dans le feu de l’action je me laisse entraîner à poser une question qui ne m’a pas été demandée, j’essuie un refus.

En octobre 2012, commençant à me sentir à l’aise avec le pendule, j’ai envisagé d’en faire un outil privilégié pour interroger sur les « présences » que je détectais occasionnellement. Des débuts modestes assortis de résultats satisfaisants, entendez par là que mes « visions », le comportement de Jeannine, soudainement apaisée, attestaient que j’avais atteint mon but. Puis un jour, lors d’une interrogation, entraînée par le pendule et le dialogue qui s’était installé, je me suis retrouvée au pied du mur, sans angoisse toutefois et j’ai réussi à faire passer une âme, mais vous n’êtes pas obligé de me croire !

Bougie.JPG 

Pourtant, depuis ce jour, cela continue. Parfois je les aide sur place mais le plus souvent je leur demande de me suivre jusqu’à la maison et cela marche. Je sens leur présence ou ils se signalent à moi par des bruits, des odeurs lorsque je les oublie, comme pour me dire « alors tu t’occupes de nous ? ». Passeur d’âmes, c’est chouette, je ressens toujours beaucoup de paix et d’amour dans ces moments là, mais est-ce là ma troisième mission de vie ?

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13 juillet 2013 6 13 /07 /juillet /2013 20:13

Depuis que je suis en âge de m’interroger sur la raison de la présence humaine sur terre, il m’a toujours paru évident que nous avions à laisser trace de notre passage. Les artistes me semblaient être tout naturellement dans cette démarche mais il y en avait d’autres comme tous ces savants, médecins etc. qui contribuaient de par leurs découvertes à apporter leur pierre au grand édifice de l’humanité. Je raisonnais déjà en termes de missions de vie mais ne le savais pas.

Aujourd’hui j’ai cheminé et j’ai envie de partager avec vous certaines de mes découvertes, évidemment ce témoignage est assez long, aussi pour que cela ne soit pas trop fastidieux, j’ai choisi de vous le livrer en épisodes. Ce n’est pas simple de donner une certaine cohérence à des faits qui sont tous imbriqués les une dans les autres, je pense être fidèle à ce qui a été notre cheminement et souhaite que cela ne vous laisse pas indifférent.

Soigner

Il y a encore quelques années les choses me semblaient simples. Si l’on m’avait demandé qu’elles étaient mes missions de vie, la réponse se résumait à enseigner.

S’il y en avait d’autres, elles étaient sans doute moins importantes.

Puis petit à petit une autre dimension de vie m’est apparue dont j’ai sondé la profondeur, émerveillée.

Si depuis longtemps certains phénomènes, comme la télépathie par exemple, ne me surprenaient plus, j’ai toujours su lorsque ceux que j’aimais allaient mal, d’autres facultés comme la médiumnité me laissaient perplexe et me semblaient souvent relever de la fantaisie.

Ces pratiques de communications fréquemment agrémentées de tout un décorum me rebutaient, pour tout dire je ne les prenais pas trop au sérieux ou bien je m’en méfiais.

ouija.jpgComme beaucoup, une seule et unique fois, je me suis amusée au « oui jà », à ceci près que nous avions bidouillé notre matériel : un verre et toutes les étiquettes nécessaires faites main. Nous étions un groupe de copains autour de la table de cuisine. Assez rapidement, le verre a commencé à bouger, répondant à nos questions par oui ou non. Lorsque nous avons eu la certitude d’être en présence d’un esprit décédé, chacun étant persuadé connaître le défunt (nous relevions tous de deuils récents), nous avons d’abord cherché à connaître la date du décès : 1972. L’amie qui menait la séance a demandé les initiales du visiteur. Le « verre » qui nous servait de « goutte » s’est alors mis en marche marquant un premier arrêt sur le C, un second sur le L avant de filer à travers la table, nous échappant complètement, pour exploser au sol. Nous n’avons même pas eu le temps de poser les questions qui se bousculaient dans notre tête. La séance s’est arrêtée là, nous laissant Frédo et moi profondément troublées, notre père, Charles Longville était décédé le 6 avril 1972.

Avions-nous établi le contact avec son âme ?

Si oui, pourquoi n’avait-il pas voulu d’échange ?

A cette époque, nous étions en 1980, Google n’existait pas, d’ailleurs nous n’avions ni ordinateur et donc aucune connexion Internet, il n’était donc pas question de surfer de forum en forum pour découvrir si d’autres personnes partageaient les mêmes expériences que nous. Nous sommes restées sur notre faim, nos copains n’ayant jamais vécu d’expérience similaire.

Sachant ce que je sais maintenant, je suis persuadée que nous avions bel et bien établi le contact mais que notre père avait fait en sorte que l’expérience s’arrête pour nous protéger.

Evidemment seuls ceux d’entre vous qui sont persuadés que l’âme survit au corps et que le monde de l’Esprit existe, seront à même d’adhérer à mes propos. Et pourtant, des témoignages sérieux de personnes ayant « joué » à ce petit jeu et qui se retrouvent hantant désespérément les consultations psychiatriques pour des altérations plus ou moins majeures de leur personnalité, il n’en manque pas.

Aujourd’hui je suis en mesure d’affirmer que des esprits « chagrins » ont le pouvoir après la vie de perturber violemment notre existence et qu’il faut avoir compris beaucoup de choses pour être en mesure de s’en protéger tout en les aidant et les aimant.

Lorsque j’ai découvert que je servais de canal et que je pouvais soigner il m’a fallu du temps avant d’être certaine que c’était un fait incontournable et que soigner était une de mes missions de vie.

J’en suis donc à deux missions de vie identifiées et si je n’ai PLUS DU TOUT ENVIE de me recoller à la première, j’ai BIEN L’INTENTION DE CONTINUER LES SOINS, à condition toutefois que l’on m’en donne la possibilité car ce n’est pas moi qui soigne : JE SUIS UN CANAL ET J’OFFRE MES MAINS.

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Cela fait maintenant 6 ans qu’occasionnellement je soulage et les retours de mes « patients » ne cessent de m’étonner. Généralement je le fait « in live », le résultat est donc perceptible rapidement mais je travaille aussi sur photo ou par visualisation. Ainsi, en mai dernier, un appel au secours de notre ami Charles m’est arrivé par SMS alors que nous étions bloquées sur la A7 près de Montélimar. Il souffrait du genou, ce qui était fâcheux car il était en plein périple pédestre en Bretagne, et me demandait si je ne pouvais pas faire quelque chose pour lui. N’ayant rien d’autre à faire, je ne conduisais pas, je me suis concentré illico, le visualisant entrain de marcher, tout en canalisant l’énergie divine sur son genou. Le soir il nous apprenait qu’il avait fini la rando sans trop de difficulté et précisait qu’il avait ressenti un curieux chatouillis quelque temps après avoir envoyé son SMS. Quelques jours plus tard une de ses relations s’était étonnée de sa bonne motricité. Autant dire que l’on peut tout de suite éliminer un phénomène d’autosuggestion de sa part puisqu’il ne savait pas à quel moment, j’avais réalisé le soin.

Lors d’un soin, je me sens toujours traversée par un fort courant énergétique, le haut du crâne me chauffe, comme si l’on me gratouillait, les mains me piquent ainsi que les pieds. Cela peut être douloureux ou et jouissif (c’est le cas pour les brûlures) mais il y a toujours un ressenti et j’ai très souvent une belle couleur violette qui danse devant les yeux.

P1010035.JPG

Lorsque je fais le soin à partir d’une photo, j’utilise un cristal de roche comme médium, c’est toujours un grand plaisir que de le sentir vibrer, pulser et joie suprême « sauter » sous ma paume !

Do

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 20:19

Il y a quelques jours prenant connaissance d’un nouvel article sur le blog du Témoin en Guyane (site ami), intitulé églises et discernement (à retrouver si vous le souhaitez en cliquant sur le lien suivant http://www.un-temoin-en-guyane.com/article-eglises-et-discernement-117267170.html), il m’est revenue en mémoire la drôle de trouvaille que nous faisons à répétition depuis cet été sur un petit banc, derrière la résidence des Valbères, dans la montagne.

Semblant nous attendre, régulièrement, nous trouvons une publication émanant des Témoins de Jéhovah coincée sous une pierre. Intitulée « Réveillez-vous ! », si j’osais (j’ose) je dirais plutôt qu’avec cette revue l’on cherche à nous endormir !

Connaissant bien son contenu, notre Tante a été très consciencieusement « rackettée » par eux pendant des années, j’imagine facilement ce que contient une revue des Adventistes, revue dont parle le témoin en Guyane.

Toujours est-il que cela m’a amenée à me pencher sur le sujet et que j’ai envie de partager le fruit de ces cogitations avec vous.

Les dogmes religieux, mais aussi politiques, ne les oublions pas, m’ont toujours semblés aliénants et qu’importe l’ « Eglise ». Pourtant force est de constater que certains en ont besoin, même si quelques uns d’entre eux s’en libèreront, comme après un passage obligé.

Je reconnais aussi, même si appartenir à une confession n’est pas ma tasse de thé que sans la Religion, il manquerait à l’Humanité une certaine dimension.

Pour ne parler que de ce que je connais le moins mal, si le catholicisme a donné naissance à l’Inquisition, on lui doit aussi de grands hommes, de belles idées … C’est l’expression de la Foi, quel que soit le Panthéon, qui a le mieux servi l’éclosion de l’Art sous toutes ses formes. Une anecdote pour justifier mon propos : à quoi (qui) devons-nous la BD ? Aux peintres du Moyen Âge qui ont été les premiers à incérer des écrits dans leurs tableaux, écrits bibliques certes mais écrits véhiculant des messages complétant la teneur du tableau !

Padre-pio.png

Dernièrement, nous avons visionné un film retraçant la vie de Padre Pio (vous trouverez en fin d’article deux liens pour visionner les deux parties de ce film, si vous le souhaitez). L’attitude de l’Eglise y est scandaleuse, magouilles, mesquineries, brimades, injustices ... Je ne cessais de me demander pourquoi il n’avait pas fait dissidence et puis j’ai réalisé ! Anonyme, il n’aurait sans doute pas été reconnu pour ce qu’il est, son œuvre nous serait peut-être inconnue. Qui aurait su les miracles qu’il opérait régulièrement ?

Les Eglises ne me dérangent pas dans la mesure où personne ne cherche à convaincre, forcer la main. Ce que je ne comprends pas c’est, malgré les discours qui tentent à prouver le contraire, cette absence d’Amour, de compassion ou de respect qui ressort dès lors que pratiquer est synonyme d’Intolérance. Il est évident que de tout temps, politiques et religieux ont assis leur pouvoir par la peur.

Dès le début du monothéisme, les sermons des prêtres, pasteurs, imams, rabbins (et tribuns politiques) … allaient tous dans le même sens.

Pour en revenir à nos moutons et laisser momentanément le laïc de côté, l’Art religieux avait pour vocation d’instruire le « peuple » mais aussi de le contraindre par la peur. Sculptures, vitraux, tapisseries … tout était prétexte pour inciter à se soumettre aux dogmes. Tout était codifié comme par exemple les représentations démoniaques et autres symboles laïcs à l’extérieur du lieu de culte (tympan, chapiteaux) pour amener les pécheurs à comprendre que le salut était dans le giron de l’Eglise !

Notre-Dame-de-Vie-Villefranche--15----Copie.JPG 

La notion de péché va de paire avec la notion d’obéissance à la Loi. En ce qui concerne le christianisme, c’est l’Eglise de Rome qui a dressé le catalogue des règles étroites auxquelles les chrétiens devaient obéir et ces Commandements sont inscrits dans le droit fil de ceux de Moïse, donc du judaïsme.

St-Paul.png

C’est d’ailleurs ce que dénonçait Saint Paul dans ses épitres : Nous savons que tout de que dit la Loi, elle le dit à ceux qui sont sous la Loi afin que toute bouche soit fermée et que le monde entier soit reconnu coupable devant Dieula Loi ne donne que la connaissance du péché … nous (St Paul) estimons en effet que l’homme est justifié par la foi, indépendamment des œuvres de la Loi.

Cela a le mérite d’être clair et ce sont ces propos qui ont fait de lui pendant quelques siècles un proscrit. Si le sujet vous intéresse, lisez « l’Avorton de Dieu » d’Alain Decaux. Cela se lit comme un roman, c’est un super voyage dans le temps !

Mais s’il y a le pire, il y a le meilleur !

Oui, je crois en Dieu, en dehors d’une appartenance à une quelconque Eglise mais j’admire certaines personnalités qui ont pu éclore au sein de cette mouvance, Jean-Paul II, Mère Térésa, Padre Pio, Sœur Emmanuelle, l’Abbé Pierre, Monseigneur Lustiger ...

Quant aux miracles (il n’en manque pas et outre les très médiatiques, il y a les petits miracles quotidiens) nombreux sont ceux qui affirment que ce n’est pas une question de récompense pour avoir bien appliqué la Loi mais de Foi.

Découvrir des miraculés parmi ceux qui ne sont aux yeux de certains que des « mécréants », peut paraître injuste, mais avoir la Foi, ce n’est pas respecter la Loi.

C’est d’ailleurs le réveil auquel nous sommes entrain d’assister en ce moment.

Fini le tout scientifique, le rationnel bon teint. S’il fut un temps ou tout n’était que religieux, nous assistons à un rééquilibrage, un réveil de la Spiritualité.

La Spiritualité n’est pas (que) la religiosité et ce n’est surtout pas l’occultisme.

Ce réveil semble beaucoup déranger, les purs et durs des sectes ou Eglises assimilées, mais aussi les pouvoirs politiques qui craignent de perdre la main et le contrôle de la masse populaire que nous représentons.

C’est de cela que j’ai le plus peur, non de sectes ou de l’obscurantisme de certains courants religieux.

Pour preuve de ce que j’avance cet interview du président de la mission interministérielle de lutte et de vigilance contre les dérives sectaires, trouvé ce matin, je vous le livre avant de vous exposer ce que cela m’inspire  :

« L’an dernier, nous avons reçu plus de 2.600 signalements à la Miviludes, dont 72% qui nous parviennent par Internet. C’est une augmentation de l’ordre de 10 à 15% environ. Donc, oui, nous pouvons dire que la menace sectaire grandit en France. Elle évolue aussi comme nous l’avions déjà observé ces dernières années ... La menace est beaucoup plus diffuse, donc plus grave à mon sens. Les pratiques non conventionnelles, notamment dans le domaine de la santé, augmentent. Le Sénat a d’ailleurs consacré un rapport à ce sujet en particulier. Les choses sont assez simples en fait. Auparavant, quand quelqu’un poussait la porte de l’Eglise de Scientologie, on le repérait très rapidement. Et on pouvait donc agir en conséquence. Mais aujourd’hui, quand quelqu’un rencontre un pseudo psychologue spécialiste de telle médecine parallèle, il nous est très compliqué de le voir.

Comment faites-vous avec ce genre de cas?

Bien souvent, ce sont les proches de la victime qui nous alertent. Des enfants qui craignent pour leurs parents. Ou l’inverse. A ce moment-là, on prend connaissance de tous les éléments. Le problème est que de nombreux petits groupes se sont formés et ils diffusent notamment leurs idées via Internet ...

Vous allez remettre votre rapport jeudi à Jean-Marc Ayrault. Qu’allez-vous lui demander?

D’abord, je voudrais lui demander plus de moyens pour les associations de victimes. Et puis, je pense qu’il faut accélérer la formation, notamment dans les écoles de police et de gendarmerie, ce que nous faisons déjà …

Ces propos me font peur !

Les pratiques non conventionnelles, notamment dans le domaine de la santé sont elles toutes des dérives sectaires ?

Qu’est-ce que des pratiques non conventionnelles en matière de santé lorsque l’on sait que la phyptotérapie est dans le collimateur des autorités sanitaires, que l’on réduit la pharmacopée homéopathique etc…

Que faut-il entendre par pseudo-psychologue de médecine parallèle ? Nous avons pendant plusieurs années été en relation avec un psychothérapeute psycho chamaniste, il n’y avait aucune dérive sectaire là-dedans et le bénéfice que nous en avons retiré a été immense. Qu’en sera t’il si la suspicion s’installe envers tout ce qui n’est pas « conforme » à la norme …

Les écoles de police, de gendarmerie … la répression … à partir de quel stade en arrive t’on à la dérive totalitaire ? Va t’on chercher le moyen de contrôler le Net ?

Non, décidément Adventistes, Jéhovah et les autres me gênent moins que cet embrigadement qui se profile, cette dérive de notre société qui tend à l’uniformisation, à tout contrôler, au tout sécuritaire.

Pour en finir et quitte à être hors sujet, je reprendrai le débat sur le mariage pour tous pour vous demander si, au fond, l’instituer n’est pas le meilleur moyen que de recenser tous ceux qui l’aurons contracter … de créer un super fichier !

Do

Liens pour le film sur le Padre Pio

http://fr.gloria.tv/?media=208747/

http://fr.gloria.tv/?media=209092/

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 20:17

Le 13 mars nous revenions d’un séjour sur la Côte d’Azur lorsque le mistral s’est soudainement levé en arrivant sur l’Etang de Berre. Nous avons effectué péniblement la traversée de la Plaine de la Crau, bénéficié d’un cours moment de répit entre Arles et Aigues-Mortes, le Mistral en poupe, mais dès Montpellier une Tramontane d’une violence inouie nous a chahutées sans ménagement.

Il était aux alentours de 21 heures, nous étions peu sur la route, que des poids lourds pour ainsi dire.

Quelques kilomètres après le péage, un panneau d’affichage autoroutier nous a alertées : suite à un accident sur la A9 les voitures devaient quitter l’autoroute à la sortie 40.

Qu’en penser ?

Cette sortie, qui dessert Leucate, était encore loin, il était donc possible qu’en arrivant dessus nous ayions la bonne surprise de découvrir que nous pouvions continuer notre route !

Mais ...

Restait cependant la probabilité que la circulation soit toujours coupée et qu’un bouchon d’importance nous immobilise à cette sortie. Possibilité peu réjouissante, nous avions quelques heures de route difficile à notre actif.

Par ailleurs ...

l’ordre de sortie ne semblait concerner que les voitures ; fallait-il en déduire que les camions pouvaient continuer ou le mot « voitures » était-il employé comme terme générique, désignant tout ce qui roule ?

 

Dans le doute, nous avons écouté notre intuition et décidé de quitter l’autoroute dès Narbonne, à la sortie 39. La nationale longe la A9, nous serions relativement peu ralenties dans notre progression et plus abritées du vent. Vaille que vaille, nous avons poursuivi notre route et regagné nos pénates très éprouvées mais surtout perplexes d’avoir constaté que l’autoroute était dégagé tout du long. 

Le lendemain nous apprenions que la violence du vent avait par deux fois couché le même poids lourd en travers des 3 voies de circulation, coupant la circulation sur l’autoroute le jour de notre retour !

Mais c’était bien avant dans la soirée et notre arrivée sur zone.

Les autorités compétentes avaient donc oublié de supprimer le panneau d’affichage !!!

 

Oublié ?

 

Une quinzaine de jours s’est écoulée, nous n’y avons plus pensé. Dimanche 31 mars, je me suis décidée à laver fourgon.Perplexité ! Le boîtier qui protège le store était très largement entrebâillé. J’ai tout de suite eu l’image, incongrue, de quelqu’un tentant de l’ouvrir avec un pied de biche ! Idiot comme idée.

Puis j’ai pensé à quelque explication purement physique, genre dilatation du métal mais, bon !

Toujours est-il que nous devions savoir de quoi il retournait. Impossible de rouler comme cela. Nous avons filé chez le concessionnaire.

Sa première réaction en découvrant le fourgon a été : « Vous avez essuyé une tempête ? ». 

A cet instant, nous avons revécu le retour difficile du 13 mars.

Assurance, déclaration de sinistre et sinistre validé, passage de l’expert !

Le vent est bien à l’origine des dégâts sur ce store, mais de l’avis de l’expert, c’est vraiment TRÈS impressionnant. Quant au concessionnaire, endommagé à ce point, du jamais vu !

Il fallait quand même que cela souffle fort, très fort. J’ai recherché : 130 km à l’heure, en continu ! Cela fait combien sous les rafales, du 160 ?

 

Nous ne ferons pas remettre de store, c’est ce que nous souffle notre intuition et nous avons plus que jamais l’intention de l’écouter.

Si nous n’avions pas « obéi » aux ordres des panneaux d’affichage autoroutiers le 13 mars, si nous n’avions pas écouté notre intuition, que ce serait-il passé ?

Comment ne pas croire que ce n’est pas un oubli qui a présidé à la maintenance du panneau ?

Un oubli ou plutôt une instance bienveillante qui veillait sur nous ? Une instance bienveillante qui veille sur chacun de nous pour peu que l'on sache l'écouter !

Vu les dégâts subis par le store alors que nous étions relativement protégées des rafales, comment ne pas imaginer ce qui ce serait passé sur l’autoroute avec plus de turbulences, de vitesse !

Le coffrage du store se serait sans doute ouvert libérant le store… que sais-je ?

Rien de bon pour nous en tout cas !

Merci !

St Sernin de Soueix (3)-copie-2 

 

Do 

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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 10:31

C’est drôle la vie, rien ne se passe vraiment comme on l’imaginait, surtout quand on était petit. Par exemple, je n’aurais jamais cru qu’un jour que je pourrais soigner les brûlures et que Frédo et moi-même ferions un tandem parfaitement au point pour apaiser les tendinites, voir les faire régresser, soigner des entorses et autres joyeusetés !

Il y a encore quelques années interroger un pendule me paraissait réservé à d’autres que nous, quant à entretenir des contacts avec les défunts, c’était tout simplement de la science fiction.

Et bien voilà, cela n’en était pas !

P1060593.JPG

Cela a commencé bizarrement, comme si un scénario avait été écrit longtemps à l’avance et que petit à petit tout se mettait en place. C’est un fait incontournable, ça marche à tous les coups et pour ce qui est des brûlures, c’est jubilatoire, mes mains adorent ça !

Il y a quelque mois nous avons découvert la Rayonnance. C’est surtout le domaine de Frédo même si j’arrive à quelque chose.

La première fois, il y en a toujours une, c’était pour tenter de soigner un choc que j’avais reçu sur le tibia : un vilain bleu de plusieurs centimètres et très épais. Ayant appliqué la main sur le coup, Frédo a canalisé certains rayons. Dix minutes plus tard, RIEN ! Tout avait disparu.

Depuis nous œuvrons ensemble et ça marche sur d’autres que nous et même sur photo.

Il n’y a que deux conditions à remplir : Y CROIRE et (NOUS) EN FAIRE LA DEMANDE.

Pourquoi ?

Parce qu’il n’y a que l’adhésion totale* de celui qui reçoit le soin qui permet au « soignant » d’atteindre son but. Il faut être à fond dans la croyance que cela va marcher et ne pas se dire qu’à défaut de faire du bien, cela ne fera pas de mal. Ensuite parce que chacun ayant son libre arbitre, aucun « soignant » ne peut forcer la main (ne serait-ce que pour que la première condition* soit remplie).

Quelques explications rapides en matière de Rayonnance.

Chaque cellule de notre corps émet de l’énergie, énergie qui maintient la cohésion de notre être. Pour plus d’explications vous pouvez vous reporter à la série d’articles (encore et toujours) dont le premier est intitulé « Ce que je crois » et relire ce qui traite de la Physique quantique.  Nous sommes des champs énergétiques et canaliser l’Energie, les rayons, est en somme accessible à tous, il suffit de savoir que c’est possible. Il fut un temps, le matérialisme n’avait pas pris le pas sur le spirituel, où « les dons » étaient chose commune. Les rayons sont des puissances énergétiques dotés de forces vibratoires qui leur sont propres. Ils ont chacun des propriétés spécifiques, agissent au cœur même de nos cellules et sont utilisés par de nombreuses personnes dans le monde. Je tacherai de vous en dire plus mais aujourd’hui ce n’est pas mon propos.  

Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de ce qui est pour nous le plus extraordinaire, le contact avec les défunts.

Evidemment j’imagine sans peine ce que cela peut avoir d’incroyable et sans doute allez-vous penser que nous sommes gagas, hormis ceux qui ont en partage avec nous les mêmes expériences.

Néanmoins, je persiste et signe et pour commencer je vais reprendre les choses du début.

Les bruits bizarres (dernièrement, c’est un coup sec frappé dans la vitre qui nous a fait sursauter, pas de vent, d’oiseau ou d’objet susceptible de cogner, rien et aucun impact sur la vitre), les lumières qui s’allument et s’éteignent seules, les objets qui disparaissent, réapparaissent sans explication, les voix que l’on est plusieurs à entendre sans qu’il y ait quiconque, les écrans télé allumés (poste débranché) …. Tout cela interpelle !

Si ajouté à cela, vous avez des ressentis bizarres, principalement un grand froid qui vous gèle les os même en pleine chaleur, recevez des informations qui ne passent pas par les canaux habituels, ouïe, toucher, odorat … forcément vous vous interrogez.

Enfin, quand pour couronner le tout, une personne de votre entourage est habitée momentanément par une personnalité qui n’est pas la sienne et est sujette au channeling, que d’autres que vous (des esprits cartésiens) en font le constat (il y a peu de temps, certains membres du personnel soignant dernièrement nous ont dit qu’à certains moments il était curieux de constater que notre mère n’était plus elle-même) alors vous commencez à vous poser de sérieuses questions et à chercher de l’aide.

Puis, un jour, c’est vous qui œuvré et là, cela change tout !

Evidemment, vous pourrez penser que je ne considère la chose que d’un point de vue ésotérique, c’est faux !

Depuis que nous sommes au contact de tous ces phénomènes paranormaux, nous avons pris l’habitude de tout passer au crible de la raison avant d’envisager toute autre hypothèse. Aujourd’hui, si je me lance dans ce témoignage, c’est parce que, depuis peu tout a changé.

Nous avons (la chance ?) d’avoir à disposition deux « détecteurs » de présences (non matérialisées) : le chien et notre mère.

Le comportement bizarre du chien fait toujours écho à des comportements, des propos sans équivoque de Jeannine et vice versa (je précise tout de suite qu’elle ne souffre d’aucune pathologie psychique, pas d’Alzheimer, de démence, de dépression … d’ailleurs elle ne prend plus AUCUN médicament).

C’était fou d’entendre ses propos, sa voix change, de voir ses yeux qui manifestement cherchent l’approbation d’un tiers que nous ne voyons pas. Elle chante et si nous lui demandons pourquoi, alors elle répond dans ces cas là : « ce n’est pas moi qui chante ! ». A partir de cet instant, poursuivant le questionnement, nous récupérons des renseignements qui nous seront ensuite utiles : homme ou femme, âge, parents ou alliés (ça fait faire-part), inconnu au bataillon ou vague relation …

Depuis le temps que cela dure, nous arrivons maintenant à anticiper sur les faits et lorsqu’une personne décède à la maison de retraite, nous sommes toujours dans nos petits souliers. Nous avons un « protocole » bien au point pour les aider à partir dans la Lumière.

Borie de Pons Cipières sSi nous constatons que Jeannine est « habitée », nous convions «l’invité » à nous suivre chez nous et même si cela vous paraît fou, c’est suivi d’effet.

La toute première fois, exaspérée de ne pouvoir discuter avec notre mère qui vocalisait à qui mieux mieux, j’ai piqué ma crise demandant à la présence de se taire et de nous suivre lorsque nous partirions si elle avait besoin d’aide.

Nous sommes parties et prises par nos activités, toujours trépidantes, nous n’avons plus pensé à l’invitation que nous avions lancée.

Le lendemain matin, le comportement perturbé du chien nous a remémoré la scène de la veille … restait donc à tenir parole.

Nous avons eu depuis ce jour un certain nombre de visiteurs. Il y a eu des départs rapides et quelques « récalcitrants » comme un résident de la maison de retraite totalement débranché et qui s’est attaché à nous, reproduisant le comportement qui était le sien là-bas.

Celui qui nous a donné du fil à retordre est un arrière Grand-père.

Il nous disait par la bouche de Jeannine qu’il avait peur de partir car il avait fait de très grosses bêtises. Ce que nous savions des histoires familiales, le travail fait avec un thérapeute en psycho généalogie ont permis d’avoir une idée de ce qu’étaient ces grosses bêtises. Nous lui avons parlé à 2 voix, d’amour et de pardon, nous nous y sommes repris à au moins 4 fois pour entrer en contact avec lui et arriver à l’aider.

Pour tous, nous travaillons avec un pendule, pour savoir s’il y a des esprits susceptibles de venir leur tendre la main, des guides etc. Pour certains il est très difficile d’en trouver, pour d’autres ça roule tout seul et nous allumons une bougie, symbole de Lumière.

Paray-Le-Monial-voeux--2-.JPGNous avons toujours la preuve lorsque nous avons fait mouche.

Dès que « l’invité » est parti, nous retrouvons une mère bien présente et seule dans sa tête … elle est cohérente, fait de l’humour … nous pouvons reprendre la voiture pour aller au « bistrot », le bonheur total !

Seulement voilà, il reste un problème à solutionner, je n’arrive pas à me faire à l’idée qu’être passeur d’âmes est une de mes missions de vie. D’abord parce que si Jeannine n’était pas là (ou le chien) pas sûr que nous les détecterions, ensuite je ne le « sens » pas vraiment !

Soigner par la canalisation des rayons ou de l’énergie divine, nous le faisons souvent, avec joie, c’est évident que cela nous correspond … partager, transmettre, aimer, aider (le pendule y contribue parfois) … sont aussi des évidences incontournables mais passeur d’âmes ?

Nous n’avons que quelques certitudes : la vie continue … toujours, l’Amour qui nous lie est éternel et l’Invisible est là, juste de l’autre côté !

Do

 

 

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 20:12

Nous avons vu dans l’article précédent sur la Loi d’attraction que chacun de nous a la possibilité, par la force de la pensée, d’attirer à lui ce qu’il désire, tout cela parce que lorsque nous émettons un désir, nous émettons une fréquence …

Ceci devient notre ordre !

attraction-magnetique.gif

La Loi d’attraction marche consciemment ou inconsciemment et fonctionne pour tout le monde. Il y a attraction magnétique : « ce que vous voulez, vous veut …»

Bon évidemment cela parait simple et magique mais il n’en est rien.

« Une pensée est « une chose » qui émet des particules physiques d’attraction. » Ce n’est pas moi qui le dit mais Einstein.

Lorsque l’on a un désir vif de quelque chose, l’univers peut créer ce que nous demandons en affectant littéralement des variables, en changeant l’ordre des choses.

Par contre que le doute s’installe et cela produit une émission contre productive.

Le doute est le résultat du « Comment », or le comment est sans importance puisqu’il n’y a pas d’explication potentionnellement rationnelle à cette situation. Les choses arrivent petit à petit, par enchaînement, en fonction des vibrations émises et reçues par l’univers qui pourra nous offrir le meilleur.

Mais attention, il faut se méfier des pensées négatives que l’on a (ou que l’on a pu avoir même il y a longtemps). Si l’on continue de se focaliser dessus même en la refusant (lorsque l’on ressasse un truc du genre : je ne veux plus entendre parler de …), cette pensée se concrétisera car c’est ce que l’on a émis à notre corps défendant et cela a affecté l’univers !

Positif ou négatif tout ce que l’on émet, nous revient.

Pour en revenir à nos désirs et pour qu’ils deviennent réalité, il y a des contraintes à respecter, un protocole !

  • Commencer par penser « positif », envisager le bon côté des choses et ne pas se laisser envahir par le négatif y compris celui des autres.
  • Être conscient que ce qui constitue le « corps » de notre désir ne doit pas être construit sur du négatif ; les mots qui expriment nos désirs doivent être choisis avec soin sans renvoyer à ce que l’on ne veut pas. Par exemple, ne pas dire « J’aimerais en finir avec mes problèmes de dos et ne plus souffrir ». Ce type d’émission est plutôt mauvais parce que mettant en avant du négatif. Ce qui est renvoyé comme vibrations ne peut apporter une quelconque amélioration. Par contre si l’on formule « Même si je ne sais pas comment, je suis pourtant certain(e) que l’on va trouver une solution et sous peu je trotterai comme un cabri ». Là, c’est la bonne voie. Le « même si » est là pour laisser carte blanche à « l’Univers » d’apporter la réponse la plus appropriée à votre cas, car le mal de dos pourrait fort bien avoir une autre cause non envisagée ! Des pieds plats par exemple !
  • Il est important de savoir se détacher du passé car les expériences ou circonstances qui nous ont affectés même il y a longtemps, nous donnent toujours les mêmes ressentis et interfèrent sur nos désirs du présent … on obtient ce à quoi on pense le plus souvent, consciemment ou inconsciemment. Les informations négatives que les médias de tout poil nous assènent ont des conséquences identiques à ce qui a été relaté plus haut pour la simple raison que, si l’on a déjà du mal à gérer ses propres problèmes, pourquoi se laisser affecter par ceux des autres, sur lesquels nous n’avons aucune prise ?

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  • Définir son rêve, savoir clairement ce que l’on veut et surtout avoir toujours comme but de se sentir (juste un peu) mieux sont enfin les clés pour atteindre son but. Se sentir bien a de multiples déclinaisons mais c’est avant tout savoir que l’on va vers quelque chose qui nous porte.
  • Enfin il faut avoir un désir ardent pour sa réussite  et y croire. Imaginer, voir, sentir se matérialiser ce désir au point de le ressentir comme un fait acquis, est gage de réussite … forcer le destin !

 

Nous sommes les créateurs de notre vie et nous devons en prendre la responsabilité à 100%. Responsable mais pas victime !

Nos désirs nous rendent le pouvoir de décider de notre vie, de reprendre le contrôle de soi.

Ce point est d’ailleurs important, à tel point que les décideurs de tous temps en ont joué. Laisser croire à certains qu’ils sont victimes, revient à leur faire croire qu’ils n’ont aucun pouvoir, aucun contrôle pour changer. C’est une forme d’asservissement dans laquelle la Démagogie nous enferme. Par contre, donner ou rendre aux personnes le pouvoir de créer et la responsabilité de leurs actes, leur permet de se libérer et de vivre ce qu’ils veulent.

Et si on ne nous le donne pas, il faut le prendre !

Avec tout cela, la vie devrait avoir un peu plus de zest, du peps !

Do

 

 

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 20:56

« L’homme peut accomplir tout ce que son esprit peut concevoir et croire ».

Et tout cela, grâce au cerveau !

Les premiers à avoir mis en évidence ce que cet organe a d’extraordinaire s’appellent Einstein et Edison : le cerveau peut créer n’importe quelle fréquence et l’émettre, quelles que soient la puissance et la durée de l’émission, il peut aussi en recevoir. Qui plus est, aucun émetteur-récepteur n’atteint sa puissance sur la Planète Terre. 

Les fréquences cérébrales ne s’apparentent pas aux ondes radios ; aucun obstacle ne les affecte, elles traversent toutes les matières car une fréquence cérébrale au niveau de la physique quantique est plus infime que la plus minuscule des structures cellulaires. Les fréquences émises par le cerveau voyagent dans toutes les directions instantanément attirant magnétiquement toute fréquence similaire, c’est la Loi d’attraction.

La Loi d’attraction est une loi de la physique quantique qui est née avec la découverte du monde macroscopique, sous l’impulsion de Niels Bohr.

Dès l’Antiquité, en Grèce, Leucippe soutenait que la matière était composée de « grains ». Les technologies ont évolué au fil des ans et montré sans équivoque la véracité de cette affirmation, affinant de plus en plus la réalité.

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A la base de tout, il y a l’atome ; constitué d’un noyau entouré d’électrons, les protons et les neutrons. Ces éléments sont maintenus « ensemble » par une force électromagnétique, la plus infime des particules n’est donc qu’énergie.

Le plus extraordinaire réside dans le fait que quel que soit le règne (animal, végétal, minéral) nous sommes avons tous en commun le même socle, l’atome !

Seules changent les combinaisons d’atomes et le nombre de ces combinaisons est infini.

Chaque combinaison d’atomes a donc sa propre fréquence.

Tout vibre, tout n’est qu’énergie.

Des expériences scientifiques ont confirmé ce qu’Edison en son temps affirmait :  « le cerveau émet des fréquences … ces fréquences sont captées  par d’autres cerveaux et affectent la matière physique ».

Ces expériences ont ainsi montré que la structure de l’eau gelée change selon qu’elle est soumise à une vibration de haine ou d’amour.

Elles ont également prouvé que les forces de même nature s’attirent.

La « raison » en est la loi d’attraction et quel que soit le mental de l’homme, cela fonctionne.

Tout ce à quoi nous pensons, ce que nous croyons ou désirons … est ce que l’on obtient car à partir de la réalité acceptée on peut créer ce que l’on veut.

visualisation_creative_attraction.jpg

Cette possibilité est le fait de notre cerveau et le fonctionnement est simple.

Chaque cellule du cerveau émet sa propre fréquence. D’autres mots désignent la même chose : vibration, énergie …  fréquence, c’est du pareil au même.

Voyageant instantanément, plus vite que la lumière, elles peuvent être captées au même instant par un autre cerveau émettant une pensée exactement similaire à l’autre bout de la planète. On pense à quelqu’un et comme un fait exprès, cette personne vous appelle … c’est ce que l’on appelle : synchronicité, hasard … !

 

La Loi d’attraction est en fait le principe que l’on trouve dans les « Ecritures », toutes les religions enseignant la même chose : « Ce que l’on fait sortir de soi nous revient » ! Et c’est un fait que toutes nos émissions nous reviennent que nos pensées soient négatives ou positives.

Dernière précision et scientifique de surcroit, la loi d’attraction est le principe qui explique l’Homéopathie : chaque chose attire ce qui est similaire et l’attraction est d’autant plus forte que la vibration est identique. Samuel Hahnemann est le père de cette médecine qui soigne « le mal par le mal » depuis 1796.

220px-Hahnemann_1996.png

Elle utilise la fréquence vibratoire d’une substance pour soigner un trouble dont la fréquence est identique.

Brièvement, voici comment : d’une manière générale, on commence par isoler la fréquence vibratoire d’un produit en le mettant dans l’alcool et on en récupére la teinture mère. Une goutte de la teinture est diluée dans plusieurs litres d’eau, secouée, c’est la dynamisation !

Et ainsi de suite jusqu’à une dilution maximum.

Après chaque dilution la solution est « secouée » et s’il y a plus d’eau que de produit au final, il est pourtant prouvé que la plus haute dilution possède la plus forte vibration énergétique.

L’Homéopathie est une question d’énergie, c’est un soin énergétique.

Pour en finir avec la loi d’attraction j’aimerais aborder un dernier point.

De multiples tests ont montré également que la maladie, les problèmes de tous ordres … abaissent notre taux vibratoire dès lors que le mental n’a plus le ressort nécessaire pour « émerger ».  Il a été montré sans équivoque également que les émissions négatives avaient des taux vibratoires beaucoup plus bas que les émissions positives ! RIEZ !

Cette problématique est bien évidemment celle des plus fragiles et il en a toujours été ainsi. C’est pour cette raison que tous les moyens possibles ont de tout temps et dans toutes les civilisations, été employés pour maintenir les classes inférieures dans l’asservissement. Ainsi en Chine, les dirigeants ont toujours eu à cœur de contrôler le commerce de l’Opium, la drogue abaissant le taux vibratoire. Les pratiques sont différentes selon les pays : alcool, prostitution, libéralisme visant à dépénaliser la consommation des drogues etc., jeux, le résultat est identique ...

De nos jours se sont ajoutés d’autres moyens comme faire croire que techniques et compétences étaient ce qu’il y a de plus important et le faire croire est une manière de maintenir les gens dans l’asservissement par la croyance de ne pas avoir les capacités de réaliser ce que l’on veut !

HAUT LES COEURS !

Do

 

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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 19:12

Quatrième partie

Ce soin a eu une autre conséquence. J’ai eu la preuve qu’il est exact que nous portons parfois sur nous des tissus cicatriciels issus de vies antérieures.

Je m’étais découverte, adolescente, une grande cicatrice au mollet gauche (environ 20 centimètres) et pourtant je n’ai jamais eu de blessure quelconque. Des petites cicatrices transversales, comme les marques de points de sutures grossiers, suivaient le trajet de la balafre. Cette marque m’interpelait à chaque fois que je m’épilais entre autre. En juin de cette année, lorsque nous avons commencé à nous tartiner de crème solaire, je me suis aperçue que cette cicatrice avait DISPARU ! Je suis certaine qu’en guérissant la femme des blessures physiques occasionnées par le Vortex, mes tissus ont été régénérés.

Alors vous n’êtes pas obligés de me croire mais c’est pourtant l’exacte vérité et si vous recherchez sur différents sites internet (ou interrogez des médiums de votre connaissance) vous constaterez que c’est un fait avéré !

Autant vous dire que Frédo du coup, voyant le(s) résultat(s) piaffait quand même un peu. Une question, bien que ne lui posant pas souci quotidiennement, lui tenait particulièrement à cœur : pourquoi depuis sa petite enfance, ne peut-elle entendre parler, lire le récit d’une exécution capitale ? Je ne vous parle pas de ce que cela remue chez elle si le sujet est évoqué dans un film. Inutile non plus de s’étendre sur son malaise, plus jeune, lorsqu’un cours d’Histoire portait sur la Révolution Française, ni sur sa gratitude envers François Mitterrand lorsque sous son premier mandat présidentiel, la peine de mort a été abolie en France.

Elle avait bien une explication mais ne se risquait pas à la formuler en public.

Gabriel se pencha donc sur cette phobie et, oh surprise, pour Frédo, tout comme pour moi, c’est d’abord un lien très fort avec la région qui lui a été montré. Un lien qui fait mal, qui descend de la gorge, le ressenti d’une très grande peur… La vision s’affinant, des personnages encapuchonnés de noir apparurent. Ordre noir qui décime … Feux… Tortures, broyage des mains… L’Inquisition ! Et soudainement l’image de Frédo s’est estompée pour montrer celle d’une femme (elle dans une vie antérieure) torturée, brûlée pour sorcellerie… Des images montrant  des gens parcourant la région en semant la terreur ont envahi l’esprit de Gabriel … Il décrivait des hommes d’Eglise et des soldats, toute la région était ciblée !

220px-Sanch_perpignan_2007_-18-.jpg 

La conclusion de Gabriel coulait de source : Frédo garde en elle la mémoire de ce qui s’est passé à cette époque, plus précisément au XIIIe siècle !

Ça ne vous rappelle rien, le XIIIe siècle ?

Nous fûmes contemporaines !

Au moment de passer au soin proprement dit, une dernière image lui fut offerte, celle d’un cône couvert d’un maillage de fils composés de mots tout autour. Cette image nous a suggéré à tous trois, la même idée : Frédo doit témoigner pour nettoyer le passé par le biais de l’écriture, pardonner (Gabriel avait la vision d’une ouverture au niveau du cœur) … A cet instant précis nous est revenu en mémoire un très joli moment que nous avons vécu en compagnie d’un ami prêtre. Nous avions avec lui travaillé sur nos arbres généalogiques dans le cadre d’une étude en psycho généalogie et à un moment donné cet ami a ressenti une présence : notre père était là portant une plume et un écritoire. Nous avions hésité alors sur le sens exact à donner à cette vision : Papa utilisait-il ces symboles pour se faire reconnaître (il adorait écrire et le faisait très joliment) ou pour nous inciter à témoigner (livres et-ou articles) ? Pour Gabriel pas d’hésitation, c’est la seconde hypothèse qui est à privilégier : témoigner et exprimer la Paix.

Lors du soin qui a suivi, il a demandé que la Lumière descende sur toutes les souffrances, les terreurs occasionnées par la torture, le feu… Une lumière rose blanc bleutée lui est apparue associée à une figure archétype, Diane, apportant son soutien au pouvoir féminin, pouvoir très touché dans la région. Une lumière argentée, dorée l’a ensuite remplacée pour adoucir les blessures physiques et mentales et détacher les égrégores de la région…  En fin de soin, alors que Frédo faisait remarquer qu’il était curieux que nous nous soyons retrouvées ici, à notre époque, toutes les trois… Gabriel a eu cette réponse : le but était de guérir… de  nous guérir, toutes les trois. Pour lui, Jeannine est la guérisseuse familiale, celle qui provoque les situations destinées à faire évoluer, progresser, guérir. C’est pour cette raison que c’est elle qui a eu le coup de foudre en premier pour les Pyrénées Orientales. Elle est notre guide terrestre et s’est volontairement mise en danger, sachant toutefois qu’elle était épaulée, aidée entre autre par notre père … D’ailleurs fréquemment elle nous signale sa présence à ses côtés, présence que nous « sentons » (au sens propre du terme) aussi à la maison.

 

Epilogue

Aujourd’hui le temps a passé depuis le dernier soin, Jeannine a récupéré psychiquement, physiquement et mentalement. Elle est apaisée même s’il y a de temps à autre des « récidives ». Sachant que nous l’avons aidée à se débarrasser des parasitages qui « troublaient » sa fréquence, nous avons compris que nous devions aussi lui laisser assumer le choix de vie qu’elle a fait en venant au monde. Si elle refuse certains soins, c’est son droit et il est de notre devoir de respecter ses choix de vie, et il en va de même pour tout individu.

Nous avons admis qu’elle avait encore de la route à faire ; sera-t-elle centenaire ? Nul ne le sait (sauf elle, sans doute).

Quant à nous deux, maintenant que nous savons quel est notre « rôle », nous commençons à y réfléchir plus intensément et ce qui est évident, c’est que l’on nous sème fréquemment sur notre route des indices qui tous convergent dans la même direction : le catharisme. Même dans les endroits les plus invraisemblables, nous remettons nos pas dans ceux des cathares !

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Nous creusons donc et ferons tout notre possible à notre humble niveau, pour apaiser ce passé douloureux … plus pour nous, c’est fait, pour les autres, et pour la région !

Do

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 19:31

Troisième partie

Pour en revenir à la situation présente, nous avons enfin accosté dans des eaux plus calmes grâce à ce médium au prénom d’archange, Gabriel.

gabriel.jpg                                                                          L'Annonciation de Fra Angélico 

Le premier contact nous l’avions voulu pour tenter d’aider Jeannine, pour y voir un peu plus clair. En ce qui la concerne, 3 « soins » furent nécessaires pour sentir que l’on touchait au but. C’est une grande satisfaction de se dire que nous ne nous trompions pas en persévérant sur la voie que nous avions choisie, qu’il y avait autre chose que ce diagnostic de démence sénile lancé tout au début des troubles par une généraliste. Comment trouver normal que la situation ait évolué brusquement, sans cause extérieure clairement définie, entraînant une variation brutale de sa santé, de ses relations affectives, de sa vie, sans envisager d’autres cause que physiques ou psychiques ?

Nous avons joué le jeu et fait pratiquer tous les examens possibles, ils n’ont rien donné, nous autorisant à poursuivre nos investigations dans le domaine spirituel. Aujourd’hui, le comportement de notre mère montre que les troubles étaient bien la résultante d’interférences et que celles-ci éradiquées, nous retrouvons la femme que nous connaissions.

Ceci étant son histoire, je n’entrerai pas plus dans les détails, par contre, en ce qui nous concerne, je n’ai pas de scrupule à me lancer. Ces soins se sont révélés avoir les mêmes conséquences que la psychothérapie. Dans ce domaine aussi, il est bien rare que l’on puisse soigner un membre d’une famille sans avoir recours à une psychothérapie familiale !

Il en a été ainsi pour nous. Libérer Jeannine a créé des remous faisant dire au « médium » qu’il ne serait pas inutile de voir de quelle manière nos routes s’entrecroisaient. Je me suis lancée la première, notamment à la faveur d’un rêve qui a servi de détonateur*. J’étais aveugle dans ce rêve mais inconsciente de cette cécité et benoitement satisfaite de mon sort. J’en ai conclu que j’avais sans doute des choses à apprendre pour mon profit en tentant l’expérience même si ma vie m’allait bien.

*Une précision, s’il m’arrive de faire des rêves prémonitoires (dernièrement cela concernait le feu qui a ravagé 14000 ha en Catalogne) je constate très fréquemment que les rêves sont plein d’enseignements, comme autant de leçons que l’on recevrait d’un monde parallèle auquel nous accédons par le biais du sommeil.

Un soin proprement dit n’est pas préparé à l’avance. Gabriel ne connaissait quasiment rien de nous (Do et Frédo) et avait juste à disposition la problématique qui m’était personnelle et que je souhaitais résoudre. Cette problématique posée au début de l’entretien concernait entre autre le vertige de plus en plus marqué qui m’handicapait. J’avais une question subsidiaire concernant ma capacité à soigner avec les mains et ma crainte à m’y lancer. Répondre à l’une a permis de faire d’une pierre deux coups.

Au début du soin, le médium laisse venir les images puis demande l’assistance  de « guides spirituels » pour « décoder » ses visions. Ayant eu recours à ces services plusieurs fois, nous avons constaté que les présences varient (archanges, maîtres ascensionnés). Très rapidement ma propre image s’est effacée au bénéfice de celle d’une femme guérisseuse, ayant trouvé son équilibre au milieu de la Nature, utilisant les plantes, le contact manuel pour guérir. Les images qui envahissaient Gabriel, lui montrait aussi un plan panoramique de la région où vivait cette guérisseuse … les Pyrénées Orientales comme par hasard. Ce pays a donc été le mien en des temps lointains (XIIIe siècle) ! Très vite les visions montrèrent au médium que des expériences pour franchir d’autres « dimensions » avaient été tentées par cette femme qui allant au-delà de ses possibilités avait fini par ouvrir un Vortex (colonne d’Energie) devenu incontrôlable.

Rando-lac-de-Coueyla-Gran-18.jpg

Nul doute que, héritière de cette situation aujourd’hui, ma possibilité actuelle d’arrêter le feu trouve sa genèse à cette époque et que je ne peux qu’avoir peur de franchir les limites en tentant des soins.

Gabriel continua à décrire cette vision, insistant sur la présence d’éclairs dans le Vortex. La femme lui apparaissait cherchant à monter toujours plus haut pour échapper à la spirale et gagner la Lumière, touchée dans ses corps physique et psychique. La vision se termina sur un retour au temps actuel où l’on me voyait trainant des résidus de ce Vortex qui s’active de temps à autre, me perturbant à ce jour sous la forme du vertige.  

Un entretien se compose toujours de deux parties, le diagnostic étant posé, nous sommes passés au soin proprement dit afin de couper les liens entre les vies passées et les vies présentes, alléger les blessures d’antan. J’ai vécu un moment extraordinaire durant ce soin, dans un festival de « Lumières » qui à coup sûr remuaient beaucoup de choses en moi. Les visions qui continuaient d’habiter Gabriel ne laissaient pas de place au doute, le Vortex résistait ! Le chakra couronne me picotait intensément, je me sentais atteindre un niveau vibratoire important puis ce furent des nausées qui me molestèrent. Ce combat intérieur cessa brusquement après que Gabriel ait décrit une pluie de petites étoiles se mêlant à une colonne lumineuse qui me traversait au niveau du ventre.

Une double image s’imposa alors, la femme, le visage apaisé, et le Vortex s’effritant.

Le soin semblait positif ! Nous avions aussi des éléments de réponses concernant notre situation familiale et des pistes à creuser pour aider Jeannine à s’apaiser, tous les espoirs nous étaient donc permis et ils n’ont pas été déçus !

A la suite de ce soin, nous sommes parties en virée avec le fourgon pour découvrir la vallée de la Vézère. Notre première halte a été pour le château de Commarques dont le clou de la visite est la vision du site du haut de la terrasse sommitale du donjon. Sans trop réfléchir je suis passée en tête et ai pris d’assaut l’échelle vertigineuse qui permet de tout dominer. C’est en arrivant là-haut et en regardant le vide sous mes pieds (le plancher est ajouré) que j’ai réalisé que je ne ressentais aucun malaise. En pareil circonstance, je m’asseyais pour donner à mes guibolles ramollies le temps de récupérer, puis j’entamais la descente un creux au ventre. Là, RIEN !

Depuis j’ai réitéré, multiplié les expériences, JE N’AI PLUS LE VERTIGE !!!

«a rin, a rin, a rin* ».

Bugarach-Pont-Vieux--7-.JPG

                                                                       Bugarach, le pont vieux 

* Danny Boon dans « Bienvenue chez les chtis »

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